En Algérie, la Cour d’appel a statué mardi 3 novembre sur le sort d’Ali Haddad, empêtré dans une affaire de corruption. L’ancien patron des patrons algériens avait déjà été jugé en juillet 2020, mais avait fait appel de sa condamnation. Un nouveau verdict était donc attendu et s’est révélé plus indulgent qu’en première instance.