Les combats se poursuivent dans le Haut-Karabakh, malgré deux cessez-le-feu sous l’égide de Moscou et la médiation des États-Unis. Alors que la situation humanitaire se dégrade encore, les habitants s’organisent pour proposer de l’aide aux nombreux réfugiés, comme dans la ville arménienne de Goris, près de la frontière, où le patron d’un hôtel a mis son établissement à disposition d’une soixantaine de personnes.