Dans les derniers jours de l’administration Trump, le Trésor américain a autorisé sous conditions l’homme d’affaires israélien Dan Gertler, ses associés et ses sociétés, dont une partie sous sanctions depuis 2017, à refaire des transactions et activités, y compris bancaires. Une décision saluée par les avocats de ce proche de Joseph Kabila mais très critiquée par des ONG qui depuis plus de 10 ans accuse Dan Gertler d’avoir participé au pillage des ressources du pays.